Parmi eux, le club accueille plusieurs internationaux ou futurs internationaux, dont une liste non exhaustive est présentée ci-dessous. Le 6 avril 1902, le Comité de Bretagne de l'Union des sociétés françaises de sports athlétiques (USFSA) voit le jour. À l'aube du XXe siècle, le football est déjà pratiqué en France depuis une dizaine d'années, principalement à Paris, en Normandie et en Nord-Picardie[1]. Le recrutement « international » réalisé par le club[168],[note 19] est pour le moins mitigé, seul le jeune gardien Petr Čech parvenant réellement à s'imposer. Ancien entraîneur du Stade Rennais et joueur de l'Olympique de Marseille, Sabri Lamouchi devrait recevoir une prolongation de contrat de La saison suivante, le championnat de Bretagne intègre les Anglais de l'US servannaise. Le score final élimine le SRUC de la compétition (1-2)[77],[78]. Un match de gala est organisé face au Racing Club de France et le coup d'envoi est donné par le maire Jean Janvier[28]. Soutenu par la municipalité qui accorde au club une subvention de deux millions de francs[141], le club repart d'un nouvel élan en 1982. Dans la foulée de son succès, le club dispute le Challenge des champions contre le FC Nantes, mais doit s'incliner (2-4). À l'instar du Stade rennais, le FC rennais trouve ses racines dans le milieu estudiantin[13]. Le 8 janvier 1978, le septième tour de Coupe de France qu'il dispute face à l'AS Brestoise est annoncé comme le dernier match d'un Stade rennais au bord de la disparition pure et simple[137]. Sous les carolingiens, le comté de Rennes fit partie de la Marche de Bretagne. En seconde période, à l'heure de jeu, Rodighiero parvient à égaliser de la tête et plus rien ne sera marqué, même en prolongation (2-2)[97]. Relégué sportivement en deuxième division en 1937, il est alors menacé de perdre son statut professionnel. Ceux utilisés pour la rédaction de cet article sont suivis du symbole . Mais le fait majeur de la saison est le parcours du club en Coupe de France. L'arrivée de Pinault s'accompagne d'une modernisation spectaculaire des infrastructures sportives. Les joueurs rennais s'attirent les bonnes grâces des sélectionneurs nationaux, Cardiet, Dubaële, Lavaud, Loncle et Rodighiero intégrant alors l'équipe de France. Au classement, les Rennais ne parviennent pas à concurrencer un FC Nantes qui remporte son premier titre de champion, malgré deux victoires obtenues sur le voisin ligérien (3-2 à Nantes, 4-0 à Rennes). « 1990-2001 : une nouvelle ère commence ». Moderne, clos, bien situé et doté d'une tribune en bois située côté Vilaine, le nouveau stade offre tout le confort nécessaire aux spectateurs[26]. Les saisons suivantes, le Stade rennais ne parvient pas à confirmer sa progression dans la hiérarchie du football français. Kaiser est le premier buteur rennais de l'ère professionnelle. Le premier match est disputé deux semaines plus tard contre le Football Club rennais, et se solde par une défaite des Stadistes six b… L’histoire du Stade rennais FC, club de football français basé à Rennes en Bretagne, débute le 10 mars 1901, date à laquelle d'anciens étudiants créent sous le nom de Stade rennais un club omnisports où sont pratiqués le football et l'athlétisme. Entre-temps, le Stade rennais dispute en juin 1955 un nouveau barrage, cette fois perdu contre Lille (0-1 puis 1-6), et change d'entraîneur, puisque Henri Guérin remplace Artigas à la suite de cet échec. Côté rennais, seul André Betta manque la cible ; côté marseillais, Josip Skoblar tire au-dessus, quand Marcel Aubour parvient à stopper les tentatives de Kula et Hodoul[122]. En quart de finale contre Monaco, les Rennais doivent céder en Principauté (0-2), mais refont complètement leur retard lors du seul premier quart d'heure du match retour (victoire 4-0 finalement)[118]. Benjamin Keltz, « Comment Pinault a racheté le Stade rennais ». Cuissard, dont la famille est à l'origine de la création du FC Lorient[note 9], opère un renouvellement de l'effectif, et enrôle quelques jeunes talents, pour la plupart bretons. En mai 2002, le Stade rennais fait peau neuve, et le temps des dépenses démesurées prend fin. « 1960-1980 : de l'apogée à l'angoisse ». Le 11 septembre 1932, dirigés par le Hongrois Kalman Szekany, les Rennais l'emportent lors de la première journée sur le terrain du FC Metz (2-1)[55]. Ces derniers ouvrent rapidement le score, avant d'assurer leur succès par un deuxième but en fin de match[43]. Ce changement s'accompagne d'un bouleversement au sein de l'organigramme du secteur sportif. Le but avoué est de doter Rennes d'un stade « digne d'une capitale régionale »[144],[145]. Le jour de la finale, le 23 mai 1965, l'enjeu inhibe pourtant l'équipe rennaise, qui subit les assauts des Ardennais[96]. Qualifiés pour le championnat de France organisé par l'USFSA, les Rennais affrontent en quart de finale l'AS des étudiants de Caen, champion de Basse-Normandie[12]. Cette année, le Stade Rennais a choisi de s'activer pour donner une nouvelle identité destinée à accroître la popularité du club. Dans le même temps, l'arbitre de la rencontre refuse deux buts aux Rennais, pour des raisons que ceux-ci ne comprennent pas[121]. Le nouveau club ainsi formé adopte les couleurs rouges et noires rayées verticalement du FC rennais[14]. Après un bon début de championnat, qui semble confirmer les ambitions européennes du Stade rennais, l'équipe plonge en automne, se fait rapidement éliminer de la Coupe UEFA, et se rapproche dangereusement de la zone de relégation. La dernière modification de cette page a été faite le 4 janvier 2021 à 20:18. Sur le terrain, une nouvelle génération de joueurs prend progressivement la main. À Rennes, le Football-club rennais est créé tout au début de l'année 1901. Cette situation ne dure qu'un an, les équipes fédérales étant rapidement supprimées à la Libération en 1944. Les talents d'entraîneur et de recruteur de François Pleyer[70] sont insuffisants pour empêcher le club de se battre année après année contre la relégation. Quant au centre d'entraînement flambant neuf, il est inauguré en juin 2000[159]. Avant leur suspension, les deux joueurs avaient disputé une compétition parisienne d'importance mineure pour le compte du Red Star[47]. Engagé dans l'armée française pendant la guerre, il est fait prisonnier en Allemagne, et ne recouvre sa liberté qu'à la libération[67]. En 1903, le comité met en place le premier championnat de Bretagne de football, qui se dispute entre ses membres fondateurs, plus le Stade lavallois créé en juillet 1902 et le FC nantais[note 3] qui a pris la place du Lycée de Nantes[10]. Plusieurs centaines de joueurs évoluent au Stade rennais puis au Stade rennais université-club entre le 20 mars 1901, date de création du club, et l'été 1932, date de son passage professionnel. Période 1901-1932. Ce dernier parvient à obtenir, à l'issue de la saison 2017-2018, la première qualification européenne du club depuis 2011, par le biais d'une cinquième place finale en championnat[196]. En 1976, le Stade rennais remonte immédiatement en D1, mais l'embellie est courte. Pour autant, le football ne disparaît pas au Stade rennais, des matchs amicaux de prestige étant alors organisés[49]. Pour remplacer Notheaux, le Stade rennais fait appel lors de l'été 1993 à Michel Le Milinaire, entraîneur du Stade lavallois entre 1968 et 1992. Joseph Verlet, premier international français à évoluer au Stade rennais, est le premier capitaine du club à fouler cette pelouse. À la fin de l'été 1939, toutes les compétitions sont interrompues par le début des hostilités entre la France et l'Allemagne nazie. Sur le plan sportif, la victoire de 1965 reste sans lendemain. Plusieurs centaines de joueurs évoluent au Stade rennais puis au Stade rennais université-club entre le 20 mars 1901, date de création du club, et l'été 1932, date de son passage professionnel.Parmi eux, le club accueille plusieurs internationaux ou futurs internationaux, dont une liste non exhaustive est présentée ci-dessous. Parti de Rennes en 1936 avec le reste de sa famille[83], il y retourne pour intégrer l'effectif professionnel du Stade rennais en 1941. Au sein du club, l'influence d'Isidore Odorico s'affirme. Lors des quatre saisons précédentes, le SRUC a systématiquement vu son parcours prendre fin dès les trente-deuxièmes de finale[71]. Le Stade rennais fait partie des cinq premiers clubs adhérents, en compagnie du FC armoricain[note 2], du Stade vannetais, du Sport athlétique du lycée de Rennes, et du lycée de Nantes. Une semaine plus tard, Sochaux décroche sa qualification grâce à un triplé de son attaquant Ady Schmit (3-4)[106]. En 1964, Antoine Cuissard, en froid avec quelques joueurs, est remercié[79]. Au retour, dans une ambiance délétère, les Rennais sont rapidement menés au score, mais parviennent à égaliser puis à tenir le score pour se qualifier (1-0 puis 1-1)[117]. L’ancien international burkinabé, Jonathan Pitroipa a annoncé ce dimanche mettre un terme à sa carrière. En 1933, Prouff est minime lorsqu'il signe sa première licence au SRUC. Son remplaçant est Jean-Raphaël Soucaret, président de Pfizer France, principal sponsor du club. Devant une foule assez nombreuse réunie à Laval, les Rennais réussissent à l'emporter au terme d'une partie serrée grâce à un but de Raoul Hamon (1-0)[11]. En 1941, le Stade rennais retrouve après deux saisons le championnat de France professionnel, et intègre la poule regroupant les clubs de la zone occupée, puis ceux de la zone nord la saison suivante, sans parvenir à jouer les premiers rôles. En 1948-1949, le SRUC réalise sa meilleure saison de D1 depuis les débuts du professionnalisme. En l'espace de sept ans, le Stade rennais UC remporte par deux fois la Coupe de France en 1965 et 1971, fait l'expérience de deux participations à la Coupe d'Europe des vainqueurs de coupe, et s'installe de fait parmi les meilleures équipes de l'hexagone. André Guy et Robert Rico partent l'été suivant la victoire en Coupe de France, Aubour et Chlosta un an plus tard. La LOFA décide finalement de faire rejouer la rencontre sous la direction d'un arbitre venu spécialement de Paris, et la partie est remportée par le SRUC. Tranquilles vainqueurs du Red Star (2-0), ils ont plus de difficultés à éliminer le RC Lens au tour suivant, ne se qualifiant que grâce à un but de dernière minute de Claude Dubaële (4-3)[92]. Emmanuel Cueff, bras droit de Pinault, est installé à la présidence. Cette liste ne présente pas les joueurs ayant fait partie de l'effectif rennais sans disputer le moindre match professionnel, ni les joueurs ayant évolué avec les amateurs ou dans les catégories de jeunes du club. Futur champion de France[120] l'OM est favori, d'autant que quelques jours avant le match aller, les Olympiens écrasent les Rennais en championnat au Vélodrome (0-5). Cette troisième finale perdue provoque un nouveau changement à la présidence du club : Frédéric de Saint-Sernin est évincé, et René Ruello fait son retour au Stade rennais. L'équipe fédérale comme le Stade rennais « amateur » évolue au parc des sports de la route de Lorient[65]. L’ histoire du Stade rennais FC, club de football français basé à Rennes en Bretagne, débute le 10 mars 1901, date à laquelle d'anciens étudiants créent sous le nom de Stade rennais un club omnisports où sont pratiqués le football et l' athlétisme. Devient, Est de nationalité sportive française jusqu'en, Est de nationalité sportive française lorsqu'il évolue au Stade rennais. La rivalité naissante entre le Stade rennais UC et l'US servannaise se confirme dès la saison suivante, les Servannais remportant leur premier titre de champion de Bretagne devant le SRUC, deuxième. L'objectif est de parvenir à contrer la menace sportive que représente l'US servannaise[5]. Au sortir de la guerre, le Stade rennais quitte le giron de l'USFSA pour participer à la création de la Ligue de l'Ouest de football-association (LOFA). Habitué à jouer le milieu de tableau les saisons précédentes, le Stade rennais se retrouve cette fois à se battre pour son maintien. Une souscription publique réunissant plus de 110 000 francs et une subvention de la mairie de 80 000 francs permettent finalement de le maintenir à flot in extremis[61]. Il franchit deux tours en battant les Cadets de Bretagne puis l'AS Brestoise, mais tombe en quart de finale contre le FC Lyon, futur finaliste de l'épreuve[34]. Un score de 2-1 en faveur de Rennes était donc synonyme d'égalité après la défaite 0-1 concédée à l'aller, Le score étant nul à l'issue du temps réglementaire, il est prévu de faire jouer une séance de, De sa création en 1933 jusqu'en 1970, la Division 2 professionnelle est dite « fermée ». Enfin, trois ans plus tard, l'obstacle des demi-finales est de nouveau fatal au Stade rennais de Bölöni, qui essuie un lourd revers à Marseille en Coupe de France (0-3)[182]. Le président du SRUC, Ernest Folliard, en devient le premier président[35]. Le 15 janvier 1922, Hugues devient le premier joueur rennais à porter le maillot de l'équipe de France[40]. Il remporte également la Coupe interfédérale de l'Ouest, organisée avec les clubs restés affiliés à l'USFSA. Pour cette première édition, le Stade rennais élimine facilement le Stade vannetais par neuf buts à zéro, mais bute sur le SA du Lycée de Rennes en demi-finale (défaite 0-1). Aubour rentre dans la légende de la coupe en jouant aux boules avec pour nettoyer sa surface de réparation[124]. Elle est réservée aux seuls clubs professionnels, et aucun système de promotion/relégation n'existe avec le niveau inférieur, le championnat de France amateur. En 1917, le Stade rennais UC prend part à la première édition de la Coupe de France. La suite de la saison est moins positive, le club ne sauvant sa place en Division 1 que grâce à une victoire face à Metz lors de la dernière journée. Après sept années à la tête de l'équipe première, Jean Prouff passe la main à l'été 1972. Le 23 mai 1972, la section football du Stade rennais université-club, la seule qui soit dotée d'une équipe professionnelle, franchit un cap dans son évolution. Jusqu'en demi-finale, le Stade rennais retrouve sur son chemin trois clubs de Division 2, et un club de Division 3. En 1961, Antoine Cuissard remplace Henri Guérin à la tête de l'équipe professionnelle, dans un rôle strictement limité à celui d'entraîneur. En plus du football, ses membres pratiquent l'athlétisme . Pierre Dréossi décide le 16 décembre 2007 de laisser de côté sa casquette d'entraîneur pour se concentrer sur celle de manager général[177]. Enfin performant et stable en Ligue 1, le Stade rennais s'installe parmi les meilleurs clubs français. Devant cet insuccès, il se dit que le Stade rennais, comme toute la Bretagne, « aime la coupe, mais ne la gagne jamais »[91]. En fin de rencontre, Loncle donne l'avantage au SRUC d'une volée pleine lucarne, avant qu'un penalty obtenu par Dubaële et transformé par Rodighiero n'assure définitivement la victoire au Stade rennais[97],[100]. Sans le savoir, le SRFC enclenche le début d'une période où il fera « l'ascenseur » entre D1 et D2 jusqu'en 1994. Plusieurs centaines de joueurs évoluent au Stade rennais puis au Stade rennais université-club entre le 20 mars 1901, date de création du club, et l'été 1932, date de son passage professionnel.Parmi eux, le club accueille plusieurs internationaux ou futurs internationaux, dont une liste non-exhaustive est présentée ci-dessous. Dès la saison suivante, le club réussit, vingt-quatre ans après sa dernière performance notable dans la compétition, un beau parcours en Coupe de France. Le Stade rennais élimine Marseille, et gagne grâce à Aubour le droit de disputer la finale de l'épreuve. Le 4 mai 1904, le Stade rennais et le FC rennais fusionnent, pour former le Stade rennais université-club (SRUC)[5]. Le groupe est renforcé par l'émergence du jeune Raymond Keruzoré, dont Prouff devient rapidement le père spirituel[113], mais aussi par l'arrivée du stoppeur Zygmunt Chlosta, qui forme avec Alain Cosnard, René Cédolin et Louis Cardiet la défense des « quatre C »[114]. Pour le remplacer, le club fait appel à l'un de ses anciens joueurs devenu entraîneur, Jean Prouff, qui revient ainsi dans son club de cœur[82]. Le retour en D2 s'accompagne d'un renouvellement de l'effectif, marqué par l'affirmation de plusieurs jeunes, comme Laurent Huard et Sylvain Wiltord formés au club, mais surtout comme Jocelyn Gourvennec, recruté un an plus tôt à Lorient[152]. En septembre 1973, deux ans après, seuls demeurent dans l'effectif André Betta et Alain Cosnard parmi les titulaires de Colombes. Lors de la dernière journée, le 9 mai 1998, les Rennais mènent une lutte à distance avec l'En Avant de Guingamp. Les joueurs restants disputent une compétition régionale, la Coupe des Aînés. Le 15 septembre 1912, le Stade rennais emménage au parc des sports du Moulin du Comte, situé entre le cours de la Vilaine et la route de Lorient. La plupart des joueurs sont mobilisés et partent au front. Avec des joueurs de base comme Philippe Berlin, Jean-Yves Kerjean, Patrick Rampillon ou encore Houssaine Anafal, l'effectif rennais se construit progressivement, sans parvenir toutefois à obtenir la remontée malgré un barrage disputé – et perdu – en 1980. Né autrichien sous le nom de Franz Pleyer, il rejoint la France à vingt-deux ans pour s'engager avec le Stade rennais. Lors de la saison 2018-2019, le Stade rennais réalise le meilleur parcours européen de son histoire. Malgré l'apport de l'attaquant camerounais François Omam-Biyik, le Stade rennais plonge et ne parvient pas à éviter une dernière place au classement qui doit le ramener en Division 2 et qui provoque le départ de Raymond Keruzoré. En lice dans cette « pré-coupe européenne »[note 17], le Stade rennais retrouve en finale la prestigieuse Juventus Turin de Zinédine Zidane. Pendant trente ans, le Stade rennais UC sillonne les divisions professionnelles sans parvenir réellement à y briller. Le SRUC mène trois buts à zéro à la pause, grâce à un doublé de Pellegrini et un but de Dubaële[93]. Symbole de ce passage de témoin, les juniors du club remportent le 19 mai 1973 la Coupe Gambardella. Merci de ne pas les mettre à jour avant la fin de la saison 2020-2021. L'histoire du Roazhon Park est depuis toujours liée à celle du Stade rennais FC. Marie, puis Perrin donnent rapidement deux buts d'avance à Sedan, mais Rennes parvient à réduire le score juste avant la mi-temps, grâce à un but d'André Ascencio. Immédiatement, Pierre Mosca est limogé et Patrick Rampillon, responsable du centre de formation, assure l'intérim jusqu'à la fin de la saison[146]. Robert Vergne, « Lenoir et les Bretons souffriront à Mantes-la-Ville ! La ville conserva ce nom jusqu'à l'époque franque. À Châteaubourg, le nouveau club né de la fusion du Châteaubourg FC et du Châteaubourg Saint-Melaine football association est bien né. Après avoir dépensé des millions sur le marché des transferts, le club souhaite en effet s'appuyer sur son centre de formation, et notamment sur une génération montante qui, le 31 mai 2003, a remporté la Coupe Gambardella[170]. Ce sont même ses adhérents qui participent à la vente de … L'article suivant présente une liste de joueurs ayant évolué avec l'équipe première au Stade rennais FC depuis sa création en 1901. En difficulté au classement, le SRFC change de président en janvier. En 1908, une nouvelle confrontation entre les deux clubs doit décider de l'attribution du titre. Découvrez la composition du club Rennes pour la saison 2020/2021 : liste des joueurs, postes, numéros, entraîneur et staff. Menant un duel à distance avec Valenciennes, les Rennais arrachent à la dernière minute leur promotion sur la pelouse du Moustoir grâce à un but de Jean-Christophe Cano[149]. Arrivé au chevet du Stade Rennais suite au départ de Julien Stéphan, l’ancien entraîneur de l’Olympique Lyonnais est en train de donner un nouveau souffle au club breton. La fin de non-recevoir qu'adresse le Stade rennais à cette décision conduit le Comité de Bretagne à lui retirer le titre pour le donner aux Servannais[16]. Mais retournement de situation pendant l'été 1991 : Bordeaux, Brest et Nice sont rétrogradés administrativement par la Direction nationale du contrôle de gestion, permettant au SRFC d'être repêché[150]. La saison suivante, c'est en Coupe de France que le club s'illustre, mais s'incline encore en demi-finale, cette fois à Auxerre (1-2)[181]. Auréolé de son nouveau triomphe, le Stade rennais enchaîne avec un succès qu'il partage lors du Challenge des champions avec l'Olympique de Marseille (2-2)[note 13]. Deux ans plus tard, la municipalité se retire définitivement du capital du club, laissant 100 % du capital du club à Artémis[156], tandis que le statut juridique du Stade rennais FC passe de SAOS à SASP[157]. Cette liste est divisée en trois périodes : de 1901 à 1932 (période amateur) ; 1939 à 1945 (période de guerre, avec interruption des compétitions nationales, puis reprise en pointillés) ; 1932 à 1939 puis 1945 à aujourd'hui (période professionnelle). Mais cette fois, les Parisiens de l'AS française l'emportent par 2 buts à 1, avec un but de l'Anglais Scoones pour les Rennais[32],[33]. Vêtus d'un maillot rayé bleu ciel et bleu marine, quand leurs adversaires du jour évoluent en rouge et noir, les Stadistes s'inclinent par six buts à zéro. Grâce à l'obstination de ses dirigeants, qui parviennent à placer le Stade rennais football club en règlement judiciaire plutôt qu'en liquidation judiciaire le 13 janvier 1978, le club se sauve temporairement de la faillite[137]. Son renfort, ainsi que celui de l'international Yannick Stopyra, ne parvient pas à éviter au club un retour immédiat en Division 2. Après une période de tâtonnement, le club parvient lors des années 2000 à devenir un postulant régulier aux qualifications européennes, mais ne parvient cependant pas à enrichir son palmarès, malgré deux nouvelles finales de Coupe de France disputées en 2009 et en 2014, et une première finale de Coupe de la Ligue en 2013. Légende : Nationalité = nationalité sportive, Début = année du premier match officiel disputé en équipe première, Dernier = année du dernier match officiel disputé en équipe première. En juillet 1999, François Pinault devient actionnaire majoritaire d'un club dont le statut juridique passe alors en SAOS et qui intègre le giron de la holding Artémis[150]. International (dix-sept sélections, dont treize alors qu'il évolue au Stade rennais[85]), il est également un athlète accompli[86], dans la tradition du SRUC omnisports[note 10]. Pendant deux ans, le SRUC doit ainsi se contenter de matchs l'opposant à d'autres équipes de l'agglomération rennaise. Au départ de Shabani Nonda pour Monaco moyennant 21 millions d'euros[165] répondent les recrutements à prix d'or de plusieurs joueurs sud-américains pour la plupart inconnus, comme Severino Lucas, Mario Hector Turdó et le jeune Luís Fabiano. Pourtant annoncé comme l'un des plus fervents partisans de cette réforme[53] dans le sillage d'Odorico[51], le club annonce en mars 1932 qu'il ne prendra pas part à ce premier championnat professionnel pour des raisons économiques[53]. Keruzoré reconstruit patiemment son effectif, avec le recrutement du buteur néerlandais Erik van den Boogaard, le retour au club de Patrick Delamontagne, et l'installation de quelques joueurs comme titulaires inamovibles, comme François Denis, Michel Sorin, Serge Le Dizet et Laurent Delamontagne, le jeune frère de Patrick.